Lundi 20 & Mardi 21 février
On a croisé le descendant d’un de ces colons : M. Le lièvre. Ce dernier se balade fièrement avec un costume tout droit sorti de l’époque ! On a essayé de lui parler français, mais à part sa tête et son costume, toute empreinte française a disparue.
On a eu un mal de chien à le comprendre en anglais, tellement son accent était terrible !
Bref, nous partons ensuite à la découverte du reste de la péninsule de Banks. On matérialise pleinement l’origine volcanique de la presqu’île. De belles vallées garnissent son contour.
Nous ne sommes qu’à quelques kilomètres de Christchurch et donc de notre fin de parcours dans l’île du Sud.
Nous nous étions réservés une journée pour la visite de la ville. On va donc faire plus court. Les visites se résumeront donc au « botanic garden » qui est toujours accessible, ainsi que le musée de Canterbury (très intéressant, mais un peu trop diversifié !).
L’histoire retiendra que la Nouvelle-Zélande aurait pu être
française, si l’expédition menée par le baleinier Jean-François LANGLOIS, n’eu
pas quelques mois de retard (1840). Ce sont les anglais qui précédèrent les
colons français. A leur arrivée, après de longs mois de voyage, la plupart des
candidats décidèrent de rester et passèrent sous domination anglaise.
Aujourd’hui, la langue de Molière a donc disparue…
On a croisé le descendant d’un de ces colons : M. Le lièvre. Ce dernier se balade fièrement avec un costume tout droit sorti de l’époque ! On a essayé de lui parler français, mais à part sa tête et son costume, toute empreinte française a disparue.
Les seuls vestiges de l’implantation des français, c’est les noms des rues, quelques plaques commémoratives et des drapeaux français. Cocoricooo !
Bref, nous partons ensuite à la découverte du reste de la péninsule de Banks. On matérialise pleinement l’origine volcanique de la presqu’île. De belles vallées garnissent son contour.
A notre arrivée dans le centre de Christchurch, c’est la
grande surprise : tout est démolit. On se rend compte à quel point la
ville a été touchée par un double tremblement de terre, donc le dernier il y a
presque un an (23 février 2011). C’est un spectacle de désolation.
Un périmètre de sécurité a été établit tout autour du centre ville. Le cœur historique est bouclé, surveillé par l’armée. Plus personne ne rentre, sauf les entreprises de démolition. Ça fait une impression de ville morte.
Ce soir, nous reprenons l’avion pour rejoindre l’île du nord
et plus particulièrement Auckland où nous retrouvons nos « petits suisses » (malgré
leur grande taille !lol).
Salut les amoureux eh ben !! je ne connaissais pas cet endroit de reve ...Sacré Monsieur Le lièvre ! dommage qu'il ne parle plus le français .Si la nouvelle zélande était française ....les maoris auraient eu leur indépendance . Allez bonne route avec votre super camping car ! et vive la France !
RépondreSupprimerça fait quand meme plaisir de voir des drapeaux français flotter en pays kiwi!! Vive Monsieur LE LIEVRE , et vive la nouvelle zelande française !! LE LIEVRE président! bises FTD
RépondreSupprimerDommage pour Christchurch, cette ville etait si jolie. C'et un nom difficile a porter , mais les kiwis arriveront à surmonter cette tragédie! God bless Christchurch Re bises FTD
RépondreSupprimer